Helvétie: Blocher, la saga continue


 

Toujours l’affaire Hildebrand (voir articles sur FAICMFSF). Christophe Blocher, a été averti lundi 19 mars 2012 qu’une enquête pénale est ouverte contre le tribun zürichois de l’UDC. De quoi prendre ses dispositions pour les perquisitions qui auront lieu le lendemain. Un Blocher qui se dit «victime d’un complot et que de toute façon, je ne risque rien, j’ai l’immunité parlementaire, Kopf tami!» Seulement voilà! Christophe aurait mis sous pression l’informaticien de la Banque Sarasin avant son entrée en fonction au Parlement. C.Blocher aurait même proposé un travail après avoir reçu l’enveloppe qui sera assez vite envoyée à la «Weltwoche», un journal dont Christophe est actionnaire.

Il faut ajouter que le «viol du secret bancaire» peut coûter jusqu’à trois ans de privation de liberté et d’une bonne amande, tout comme le viol d’une femme pour autant qu’elle puisse le prouver!

Mais écoutons la perquisition rondement menée par l’équipe de la Soupe, une émission dominicale qui va disparaître en juin (snif!). Evénements reportés par les larrons Guy Schrenzel avec Vincent Kohler et Yann Lambiel, le 25 mars 2012 (ça fonctionne, mais il faut attendre un moment, grrrrr)

la-soupe_2012-03-25_perquisition

 

Mais voilà-t-il pas que le procureur et l’entourage chargé de l’affaire vont au squatsch ce week-end et boivent un bon petit coup. L’alcool délie les langues et on se met à évoquer l’affaire Blocher à haute et forte voix. Un homme sobre (peut-être un espion UDC), assis à une table, écoute la conversation, sort son agenda et un stylo et note scrupuleusement ce qui se dit au bar. Ehhh oui! On peut être bourré et violer le secret de fonction. Toujours est-il que le mouchard s’en va certainement vendre son info au plus généreux…

Et la saga de rebondir de plus belle.

Info? Intox? Pour l’instant, je ne trouve pas l’info sur le net et les derniers faits relatés sont écrits de mémoire, d’où le manque de certains noms, mais il ne fait pas de doute que cette info va trouver un écho dans les médias helvétiques. Ne reste plus qu’à attendre…

 

Mais que fait la police?! France 2 – Suisse 1


 

Alors que d’importants effectifs de la police française sont mobilisés autour du domicile toulousain d’un suspect français d’origine maghrébine de 24 ans qui se réclame être de la branche Al Caïdada, qui a peut-être été l’auteur des tueries lâches et sans qualificatifs adéquats contre des élèves de l’école juive de Toulouse et des soldats maghrébins et noirs de Montauban et ce, avec caméra au torse pour pouvoir diffuser plus tard les images sur YouTube, un autre pelé dépose tôt ce matin même une bombe artisanale devant l’ambassade d’Indonésie sise dans le XVIe arrondissement de Paris, soit un quartier chic de la capitale où les habitants ne sont pas des lèves-tôt, limitant ainsi et fort heureusement les dégâts, ne serait qu’en coût de vies humaines où à cet endroit même, ces vies sont plus onéreuses et moins chocs que dans les banlieues. (Et je défie quiconque de faire une phrase aussi longue sans un point intermédiaire!) Un important dispositif policier a été dépêché sur les lieux où celui qui a déposé les explosifs a bien laissé un billet de revendications dans une des poches du sac suspect, sans penser que ce dernier serait pulvérisé lors de la mise à feu des bâtons de plastic à 05h45, le con! Message qui aurait pu faciliter la tâche de la section antiterroriste, de la brigade criminelle et de la police judiciaire aussitôt mises sur l’affaire, relayant ainsi les policiers et les pompiers qui travaillent d’arrache-pied sur les lieux de ce nouveau crime qui se déroule juste pendant la campagne présidentielle et ça, c’est vraiment pas de bol pour les électeurs qui doivent choisir entre un Etat plus sécuritaire et un changement radical, donc accepter que tout le monde soit fiché numériquement, voire pucé si des fanatiques de tous bords se trouvent parmi les honnêtes gens, l’iPhone ne suffisant pas à aider les forces de l’ordre à se prémunir d’un danger potentiel ou une dérive émotionnelle qui amènerait un sujet sensible à toutes sortes de dérapages terroristes. (Celle-là n’est pas mal non plus!)

Mais revenons à Toulouse où les négociateurs se dépêtrent pour obtenir un accord sur les dispositions qu’ils prendront lorsque le jeune djihadiste aura bouffé son repas halal de midi avant de se rendre cet après-midi, ce qui n’est pas bon signe puisque ça veut quand même dire qu’il prépare un truc pas piqué des hannetons, en tout cas perso, je me méfierais, les responsables de l’assaut final ont déjà coupé le gaz alors que les frères du toujours soi-disant suspect qui ne l’est plus tant puisqu’il tire sur tout ce qui bouge et a déjà blessé deux ou trois gendarmes qui ont certainement fait les marioles et sont passés d’un point à un autre à découvert servant ainsi de cibles mouvantes à ce snipper aguerri par son séjour en Afghanistan. (Alors là, la phrase est bien, mais je ne savais pas où mettre une virgule, me faisant chier en même temps avec un logiciel qui me reconnaît et en même temps, me refuse l’accès à certaines données auxquelles j’ai droit, et ça, ça me les brise!)

Je ne vais pas continuer à couvrir par écrit, minute après minute, les événements qui se déroulent dans deux endroits de l’Hexagone en me demandant: «Mais que fait donc la police?!»

Et bien, en Hélvètistan, petit pays accolé à son grand voisin francophone pour l’heure assez préoccupé par les tragédies qui se déroulent en son sein et où tous les candidats au poste de Président(e) de la République se demandent quelle attitude adopter pour gagner les voix des électeurs, en Suisse écrivais-je, petite patrie oh fort combien tranquille et bucolique, la police s’est enfin décidée à se bouger la moindre. Et ce n’est pas trop tôt!

En effet, c’est un bataillon de policiers qui se sont livrés à une perquisition trop tardive du domicile et du bureau du tribun UDC (Union Des Coquins) Christophe Blocher, grand défenseur du secret bancaire qui n’a pas voulu donner son ordinateur aux autorités présentes lors de la fouille de sa super grande baraque, Conseiller national qui doit enfin s’expliquer comment les fiches bancaires de l’ancien boss de la BNS (Banque Nationale Suisse), Hildebrand déjà mentionné sur ce site, se sont retrouvées en sa possession et pourquoi les a-t-il aussitôt livrées à la presse, surtout celle (la presse) dont il est le principal actionnaire. Un Christophe Blocher qui est sous le coup d’une enquête pénale et ne peut se prévaloir d’une immunité parlementaire, un privilège qui ne s’applique pas aux activités liées à son mandat parlementaire, et toc!

 Policiers, un métier à hauts risques!

 

Mais qu’est-il donc arrivé à Christophe Blocher


 

Pour les internautes qui n’a connaissent rien au système politique suisse, comme passablement d’Helvéticus modernicus d’ailleurs, Christophe Blocher est le tribun qui a réformé la nouvelle UDC (Union des Démagogues Conspirationnistes), une aile dure d’une certaine extrême-Droite qui se dit soft. Un Conseiller National, grand défenseur du secret bancaire qui a rempilé malgré son âge et n’a de cesse de perturber les audiences par ses attaques frontales contre la BNS (Banque Nationale Suisse), ceci afin de ne pas avoir à s’expliquer sur le «comment?» a-t-il eu certains documents bancaires entre les mains et de les donner à publier dans le journal national dont C.Blocher est actionnaire à ???%.

Mais qu’est-il donc arrivé à Christophe Blocher?!

Sur la photo annexe, on peut remarquer qu’il est blessé sur la lèvre supérieure et sur le nez.

Photo!

 

Car il faut souligner que les médias n’en ont fait aucune mention dans les journaux, magazines ou autre. Le mystère est donc total et toutes les hypothèses sont imaginables.

 

Regardons une autre photo!

 

A-t-il reçu un pain sur la poire? Et que trop fier, il n’ose en parler?

Ou a-t-il perdu l’équilibre et s’est ramassé la tronche en premier?! Ce qui serait plus grave car comment un homme devenu faible, suranné et opiniâtre peut-il encore être Conseiller National! Ce qui est quand même important, vu qu’il vient d’être réélu de justesse pour quatre ans. Il est donc essentiel que la lumière soit faite sur son état de santé, non?!

Qui dérobera son bulletin de santé et le donnera en pâture aux médias?

 

Allez, on s’en refait une dernière!

 

 

SCANDALE SUISSE: FIN. Tobin vient à la rescousse


 

Philipp Hildebrand n’a pas surveillé sa femme et s’est vu le devoir de démissionner, cela suite aux pressions incessantes de l’Union Déma-gogue Conspiratrice.

Hildebrand, c’est un jeune génie de la finance qui part donc se reposer un peu après avoir essayé de gérer et la BNS, et sa vie privée, avant de se retrouver à un autre poste certainement prestigieux. Le gain des «spéculations» de son épouse, 61’000.00 francs, qui ont été reversés depuis sur le compte d’une fondation.

Blocher, c’est un sénile encore élu de justesse au parlement, qui arrive à se procurer des documents confidentiels volés et qui reste encore pour 4 ans au Conseil National. Sans oublier que l’employé de la banque Sarasin qui a volé lesdits documents pour les donner à un intermédiaire de Cricri, a tenté de se suicider depuis, mais ça, on s’en tape comme de l’an 40, n’est-il point?!

On peut se poser des questions sur le soi-disant «délit d’initié» du président de la Banque Nationale Suisse (BNS), sur le laxisme et la crédibilité de cette noble institution. Cela était certainement mal connaître le talent de spéculateur du tribun politique zurichois qui a fait ses preuves dans les années 1990. Mais il ne faut pas perdre de vue que si Bloblo continue à harceler le gouvernement sur cette affaire qui devrait être maintenant close, c’est que ce parlementaire au Conseil, (Bloblo), devra quand même expliquer comment et pourquoi l’employé de la banque Sarasin a volé les documents de Hildebrand pour les donner à un proche de Blocher, grand défenseur du secret bancaire. Et pourquoi Cricri a donné lesdits documents à «son» quotidien la «Weltwoche»!

 

On s’en fout d’autant plus que c’est le zorro Sarko qui va voler au secours de la place financière helvétique puisque, voulant montrer l’exemple à l’ensemble de la zone Euro dont il se prend pour chef de file, le monarque français va instaurer sa taxe Tobin, taxe sur les transactions financières mollement soutenues par sa compagne politique Angela Merkel. Qu’à cela ne tienne, Sarko va montrer l’exemple… et les investisseurs de faire leurs transactions…ailleurs!

Sarko, qui décidément n’en fait qu’à sa tête, s’est amouraché de sa Jeanne d’Arc qu’il choisit comme symbole de résistance de la France et de son unité nationale. Jeanne d’Arc qui, rappelons-le, fut une pucelle qui entendit la voix de dieu et qui s’engagit dans une guerre libératrice contre les envahisseurs anglais. Symbole mûrement réfléchi par le petit Père des Français qui tint obstinément tête à David Cameron, premier représentant de Grande-Bretagne, et ce, lors des dernières négociations de Bruxelles en décembre 2011. Encore une victoire française sur les Anglais!

La question est de savoir si Père Sarko va aussi finir sur un bûcher aux présidentielles 2012!

 

 

SCANDALE SUISSE: Blocher contre Hildebrand


 

Interview de Christophe Blocher, vieux tribun de l’UDC (Union Déma-gogues Conspirateurs)

(Rappelons que la femme de M. Hildebrandt a fait un gain de 61’000.00 francs)

 

Voir Vidéo sur

 Mise au Point du 8 janvier 2012

 

 «….Sa femme, c’est encore plus tangereux!»

Petit Quiz

 

o Christophe Blocher protège celui qui divulgue les comptes du patron de la BNS

o Christophe Blocher est gentil et pense au peuple suisse

o Christophe Blocher n’aime pas le secret bancaire

o Christophe Blocher aime Jean Ziegler

o Christophe Blocher doit aller dans un EMS (Etablissement Médico Social)

o Christophe Blocher aime les femmes

o Autres options…

 

Notre petit scandale helvétique


 

Situons d’abord le contexte.

En douce et bucolique Helvétie, il y a le président de la BNS (Banque nationale Suisse, qui règle un peu la devise en fonction des diverses crises) dont le nom est Philipp Hildebrand et un trublion UDC (Union des Démagogues Conspirateurs) Christophe Blocher, vieux lion qui a fait son temps, mais qui ne l’entend pas de cette oreille et qui s’accroche à la politique pour ne pas finir en EMS (Etablissement médico-social).

Or ces deux personnages ne peuvent se voir en peinture et Blocher est prêt à tout quand il veut déboulonner quelqu’un qui ne peut pas piffer.

L’année 2011, et ce n’est pas un secret mondial, a traversé une crise où les monnaies ont dévalué de manière vertigineuse. La panique a gagné les riches et moins riches qui sont venus placer leur pognon en Suisse, rendant le franc de plus en plus fort. On se souvient de la quasi parité entre le franc suisse et l’euro et le dollar à moitié prix. Pour qui fut attentif(ve), il était tentant d’acheter des services en dollars et les Helvètes de se rendre dans les pays voisins pour faire leurs courses.

Pour ceux qui en avaient les moyens, de commencer à acheter des devises américaines ou européennes en espérant que ces dernières allaient remonter. Les devises américaines étant plus tentantes car les USA peuvent faire marcher la planche à billet, l’Europe est beaucoup plus compliquée pour cette stratégie. Bref, les époux Hildebrand ont acheté 512’000 dollars pour 400’000 frs et ce, avant l’introduction du taux plancher fixé par la BNS. En septembre 2011, le taux plancher fut fixé à 1,20 frs pour 1 euro, ceci sous la pression des industries d’exportation et des syndicats. On comprend la prudence de la BNS dont une des fesses est assise sur des réserves en euros achetés alors que ce dernier était encore costaud, et un quart de l’autre fesse sur des dollars. Fixer le taux plancher plus bas équivaudrait à des pertes financières faramineuses si l’euro remonte. Or le dollar remonte et le couple les revend. Gain: 61’000 balles, tu parles d’un délit d’initié!! Je me dis même que ce sont des branques car les indexations des devises s’est fait en toute transparence et n’importe quel quidam helvéticum a pu bénéficier du dollar lorsque ce dernier était à 70 centimes. D’ailleurs, Christophe Blocher le milliardaire, a certainement joué à la bourse, jeu dans lequel il est expert, ce qu’il l’eut démontré dans les années 1990. Mais chutttt!!!

Or, un employé de la banque Sarasin vole SEULEMENT les documents bancaires du patron de la BNS et les file à un avocat proche de Christophe Blocher! (sic) Christophe Blocher les donnent à la Weltwoche (quotidien de gauche à la solde de Blocher) (resic!)

Malgré les différents audits que la Confédération et la justice a eu depuis l’annonce de cette affaire révélée par le quotidien et le renouvellement de leur confiance envers le patron de la BNS qui tient bon dans la tempête monétaire que la Suisse traverse, la Weltwoche insiste et publie chaque jour des édito à l’encontre de Hildebrand, ce qui dévie les projecteurs de la face devenue muette de C.Blocherius qui ne veut plus piper mot. Et pour cause! N’est-ce donc pas lui le fervent défenseur du secret bancaire suisse? N’est-ce pas lui qui accuse le gouvernement de vendre la Suisse aux étrangers avec le fameux accords RUBIC? N’est-ce pas lui qui s’est aussi enrichi de manière plus abjecte encore en jouant à la bourse? Comment pouvait-on prévoir la ruée des investisseurs étrangers vers la monnaie suisse et ce, malgré toutes les démarches qu’il faut faire actuellement afin de passer entre les mailles du filets que les nouvelles lois bancaires ont mises en place? Comment prévoir que les monnaies étalons allaient descendre aussi bas et le dollar remonter aussi rapidement?

Philipp Hildebrand va donner sa version des faits cet après-midi sur les ondes médiatiques.

On aimerait entendre Christophe Blocher aussi, même si depuis, il tire sa gueule de con derrière un mutisme assourdissant! Parce que toute une histoire pour 61’000 balles, il y a d’autres préoccupations.

L’UDC est vraiment mauvaise joueuse quand on pense aux millions qu’elle a investi dans une campagne qui lui a fait perdre des sièges aux dernières élections. Cette cabale politique est désastreuse et Christophe Blocher mérite son bonnet d’âne!! Bouhhhh!!!

 

 

Blocher, Christophe Blocher: le retour!


A 71 ans, papy Blocher, fondateur de l’aile dure de l’UDC zürichoise qui est malheureusement devenue nationale, se représente comme candidat pour retrouver un siège de parlementaire dans une des deux chambres. Certes, le bougre ne brigue pas le siège de Conseiller Fédéral, où il s’occupait du département fédéral de Justice et Police depuis 2003 et d’où il s’est fait éjecter en 2007. Mais son but est non pas d’entrer au Conseil National, mais d’entrer dans la petite Chambre, soit celle des Etats, petite pièce qu’il trouve trop à gauche, son parti n’ayant que 6 sièges sur les 46 représentés. Ben tiens!

Non seulement le bougre innove, car c’est la première fois qu’un ancien Conseiller Fédéral se représente au Palais Fédéral, mais il se veut être la locomotive de son parti qu’il trouve encore trop faible, et veut améliorer la représentation de l’Union Des Comploteurs europhobes: «Il en va de l’avenir de notre pays. La Suisse, ce beau pays avec ses vaches et ses montagnes, son chocolat et ses montres, va être mise sous pression par le droit des méchants Européens qui veulent manger notre Confédération. Donc je dois m’ériger en Sauveur pour défendre notre indépendance. Les jeunes ont la force, les vieux briscard comme moi, ont de l’expérience. Et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour emmerder le monde lors des sessions parlementaires, comme j’en ai eu tant l’habitude!» dit-il, avec un certain humour. (Bon, je ne suis pas sûre du vocabulaire, mon suisse-allemand laissant à désirer. Mais j’en ai saisi le contenu et c’est le principal).

Bref, notre vieil Aïe Blocher ne sait que faire de sa retraite et, pour éviter le divorce d’avec sa femme qui le trouve trop pénible, préfère réintégrer la scène politique pour éviter que notre pays plonge dans la catastrophe.

Est-on vraiment sauvé!

Quand on sait qu’en tant que Conseiller Fédéral, Blocher n’a fait qu’appliquer la loi fomentée par Ruth Metzler, une Démocrate plus Crétine que Chrétienne, de compter le nombre de crayons et de gommes dépensées dans les divers départements et de s’opposer systématiquement à toutes mesures prises par le Conseil dont il fut un éphémère membre, on est en droit de se poser cette question.

On est encore plus en droit de se questionner d’autant que le Centre Droit pique des idées à l’Union Des Conspirateurs pour garder leur électorat!

La Suisse trop à gauche? Peut-être! Mais avec son capitalisme forcené, elle en a les moyens, non?!

 

 

 

Publié le 8 avril 2011